Où en est-on côté divorce en Suisse ? Tout d’abord, ceux qui ne le savent pas encore, doivent être informés que, depuis 2007, les suisses peuvent… divorcer en ligne ! (Le rendez-vous final chez le juge reste incontournable, mais les démarches sont ainsi tellement simplifiées…). Cette possibilité est particulièrement bien adaptée aux divorces dits par « consentement mutuel », c’est-à-dire à l’amiable. En effet, si les deux époux sont d’accord pour divorcer et sur la manière de régler les différents points potentiels de divergence post-divorce (comme la garde des enfants, la répartition des avoirs, biens et dettes), il leur suffit de signer une convention. Non seulement la procédure n’est pas très onéreuse, mais elle peut être très rapide. On peut divorcer en… trois mois. Cela dit, attention, la convention doit être ratifiée par le juge, aussi doit-elle être « juste », notamment pour tout ce qui concerne les enfants, car sur ce sujet le tribunal ne peut se contenter de la décision des époux.
Source : www.divorce.ch
Un accompagnement juridique clair
Dit autrement, que ce soit pour un consentement mutuel avec accord complet (sur tous les sujets) ou partiel, mieux vaut quand même prendre les conseils d’un avocat avant de voir le juge. Quelle que soit la solution envisagée, et ainsi qu’on peut le lire ici, ceux qui envisagent un divorce à Genève peuvent compter sur des coûts réduits, et définis dès le début. Fort d’une expérience de plus de 10 ans, ce cabinet reçoit ses clients sur rendez-vous au centre de Genève. Voir sur son site : www.divorce.ch.